Comment motiver votre équipe à changer à propos d’un sujet crucial qui vous tient particulièrement à cœur?

J’entends par équipe, votre équipe au travail (employés, collaborateurs…) autant que votre équipe à la maison (vos proches) ou dans vos loisirs (équipe sportive).

J’entends par sujet crucial qui vous tient particulièrement à cœur, un sujet pour lequel des changements vous semblent impératifs.

Pour vous, c’est un sujet vital : pour la pérennité de l’entreprise, pour l’harmonie de la famille, pour la survie d’une espèce menacée, pour la préservation de la planète…

Il peut s’agir d’un sujet qu’on vous impose d’aborder, à condition qu’il vous tienne à cœur, que vous en partagiez le sens.

C’est un sujet d’une haute importance pour vous. Parce qu’il va avoir un impact sur vous, sur votre équipe, ET SURTOUT bien au-delà de vous tous.

C’est un sujet qui vient vous chercher…dans vos tripes.

Qui vient toucher à vos valeurs, à quelque chose d’essentiel pour vous, au-delà de vous.

Pourquoi la majorité des gens échouent à motiver leur équipe à changer à propos d’un sujet crucial?

Les deux erreurs les plus fréquentes :

Si ça vous est déjà arrivé de tenter de motiver votre équipe à changer à propos d’un sujet crucial, vous l’avez fait jusqu’à présent avec beaucoup de passion, d’émotion, de désir de convaincre.

Et vous avez obtenu l’effet inverse de celui désiré : vos interlocuteurs sont restés muets, se sont fermés à l’échange, vous n’avez déclenché aucune motivation pour le sujet, peut-être pire un rejet du sujet.

Le changement dont vous rêviez tant a alors fondu comme neige au soleil.

Vous avez ressenti une très grande frustration, un sentiment d’incompréhension voire de colère.

Pourquoi avez-vous obtenu ce résultat alors que votre intention de changement est si noble et pour le bien de tous?

L’une des raisons premières est que vous avez pris pour acquis que ce sujet qui vous tient tant à cœur tient aussi à cœur de votre équipe.

Vous avez pris pour acquis, ou vous ne vous êtes pas soucié-e de savoir si votre équipe avait de l’intérêt pour ce sujet.

Puisque ce sujet vient vous chercher dans vos tripes, il vient forcément chercher votre équipe dans leurs tripes aussi.

Première erreur.

Deuxième erreur :

Tellement emballé-e par votre sujet et les solutions que vous avez en main, vous avez beaucoup parlé et très peu écouté.

Vous avez nommé les changements que vous vouliez faire, voire que vous imposiez de faire, à des personnes qui ne partageaient aucunement votre enthousiasme pour ces changements.

Plus on est emballé par un sujet, plus le risque de l’imposer aux autres sans prendre leur avis est grand, et cela, sans nous en rendre compte.

L’enjeu est davantage de réussir à aborder sereinement avec votre équipe ce sujet crucial pour vous et d’écouter ce qu’ils ont à en dire.

L’enjeu est également de leur donner le goût d’écouter ce que vous avez à en dire, combien ce sujet est crucial, et pour qui ou pour quoi il l’est.

Alors, conscientisée, votre équipe sera d’elle-même motivée à apporter des changements.

Parce qu’elle partagera votre conviction, et/ou parce qu’elle aura compris l’importance que cela revêt pour vous.

De fait,

Comment motiver mon équipe (quelle que soit la nature de l’équipe) pour :

➡ Échanger sereinement sur ce sujet qui me tient particulièrement à cœur à moi, mais pas forcément à eux?

➡ Dans le but d’impulser des changements qui serviront la cause que je défends?

 

Dans cet article je souhaite vous partager la méthode que j’ai moi-même utilisée auprès de mon équipe à la maison (mon conjoint et nos 3 garçons, entre 15 et 22 ans) cet été 2021, pour aborder un sujet devenu crucial pour moi : la pollution numérique.

J’ai d’ailleurs deux intentions envers vous chers lecteurs et lectrices avec cet article :

1️⃣ Vous partagez ma méthode car elle fonctionne.

2️⃣ Vous sensibiliser à ce sujet crucial de la pollution numérique…car crucial pour la planète.

La méthode que j’ai utilisée, c’est une combinaison des principes, stratégies et outils de Communication Zéro Déchet™ que je transmets à mes clients, en accompagnement individuel ou de groupe.

Je vous donne l’exemple d’une application avec mon équipe à la maison. Elle est applicable pour tout autre type d’équipe (professionnelle, amis, loisirs…).

Ma méthode en 4 étapes :

C’était au cours de l’été 2021. Je m’étais dit : « pendant les vacances, je prends enfin le temps de m’informer sur ce sujet qui vient me chercher depuis quelques temps : la pollution numérique. »

Étape 1 : Prendre conscience de l’importance du sujet pour soi

Prendre conscience que le sujet que vous voulez aborder fait partie de ces fameux sujets « qui viennent tant vous chercher ».

C’est essentiel d’identifier cela. C’est parce que c’est un sujet qui vient vous chercher dans vos tripes, dans vos valeurs, que vous devez être vigilant à ne pas commettre les 2 erreurs précitées.

Pour ma part, la pollution numérique, ça vient me chercher dans mes valeurs.

On a à la maison un mode de consommation assez responsable (épicerie en vrac, une seule auto et recherche de co-voiturage quand c’est  possible, recyclage des déchets et de tout objet dès que possible, achat d’occasion plutôt que de neuf…).

Et sur le numérique et notre consommation d’internet, ça faisait un moment que je ressentais un décalage, quelque chose qui clochait.

Professionnellement, j’ai créé une approche de la communication interpersonnelle que j’ai appelé la Communication Zéro Déchet™, qui a pour but de recycler les déchets relationnels que l’on produit et subit et de pratiquer une façon de communiquer qui n’en produit pas.

Un genre de communication responsable.

Autant dire que quand j’ai entendu parler de numérique responsable, ça a largement attisé ma curiosité…

J’ai donc mis 2 livres dans mes bagages de vacances :

Sobriété Numérique, de Frédéric Bordages

Réparer le futur, d’Inès Leonarduzzi

Je vous les recommande chaudement. Vous pouvez lire ici le post LinkedIn où je partage ce que j’en ai appris.

Avant de lire les 2 livres, la pollution numérique était un sujet qui m’intéressait, parmi d’autres, pour lequel j’avais le goût de prendre le temps de m’informer.

En cours de lecture, c’est clairement devenu un sujet qui me tient particulièrement à cœur, et que je DEVAIS échanger avec mon équipe à la maison. Je ne pouvais pas garder pour moi ce que j’étais en train de découvrir. Et il devenait évident que des changements s’imposaient dans notre façon de consommer le numérique.

Problème : Mes 4 co-équipiers à la maison sont très friands du numérique, adeptes des jeux en ligne, de Netflix, des vidéos sur YouTube et de Spotify, et ils ont développé (tout comme moi) le réflexe de sortir leur cellulaire de leurs poches pour demander à Google la réponse à la question qu’ils se posent ou qu’on leur pose.

Comment aborder ce sujet si crucial et sensible sans déclencher les hostilités?

Consciente du risque accru que j’arrive avec mes gros sabots et mon emballement soudain pour un sujet qui vient me chercher moi mais pas forcément mon équipe, voilà ce que j’ai mis en place pour réussir à :

  • Partager ce que je venais d’apprendre sans susciter de débats stériles et clivants pour ou contre le numérique
  • Susciter chez chacun d’eux cette motivation pour un numérique plus conscient et raisonné
  • Donner le goût de lire ces livres à leur tour
  • Faire ce virage vers un numérique plus responsable de façon volontaire et tous ensemble
  • Donner le goût de changer certaines de nos habitudes et réflexes et ne rien imposer

Étape 2 : Préparer le terrain avec humilité

Informer votre équipe que vous allez prochainement avoir besoin de leur expertise que vous-mêmes n’avez pas, ou de leur point de vue sur un sujet d’importance.

C’est-à-dire utiliser le principe 9 en Communication Zéro Déchet™ : l’humilité.

A partir du moment où j’ai commandé les 2 livres, j’ai commencé à parler à mon équipe de 2 choses :

👉 mon intention de lire sur le thème de la pollution numérique pendant les vacances

👉 ET que c’est un sujet dont j’aimerais bien parler avec chacun d’eux et tous ensemble, parce qu’ils s’y connaissaient bien plus que moi sur le sujet. Leur avis me sera précieux.

Je leur ai dit : « Vous êtes tous les 4 bien plus au fait du numérique que moi, il y a des choses dans ces livres que vous allez comprendre, cerner mieux que moi, et vous serez plus habiles à détecter le vrai du faux dans les informations que moi. J’aimerais beaucoup que vous les lisiez aussi, après moi, pour qu’on puisse s’en reparler. J’aimerais ça avoir votre avis sur ce sujet. S’il y a des changements qui y sont proposés, vous serez mieux à même que moi de dire si ça tient la route ou non.»

Cette démarche-là, je l’ai faite en individuel, avec chacun d’eux, et en présence de tout le monde en même temps. Stratégie que j’ai utilisée aussi pendant ma lecture des livres et après.

Pourquoi individuellement et tous ensemble? Ce sera peut-être le sujet d’un autre article…

Attention! Il ne s’agit pas d’inventer une pseudo humilité, une expertise qu’ils ont et que vous n’avez pas. Il s’agit de mettre en lumière, en toute humilité, une faiblesse chez vous et une force chez eux.

Ainsi, vous déclenchez chez eux une réelle première motivation pour le sujet.

Étape 3 : Aborder le sujet au bon moment et de la bonne manière 

Le bon moment est le moment opportun pour votre équipe.

La bonne manière c’est avant tout en nommant clairement votre intention.

Quand vous voulez aborder le sujet, vérifier toujours au préalable que le moment est opportun pour votre équipe (en individuel comme en collectif) ET soyez clair-e dans votre intention.

Nous sommes partis en vacances en Gaspésie et à 4, l’un de nos fils travaillant sur la même période.

J’avais choisi de lire les livres dans la voiture. Mon conjoint aimant beaucoup conduire, j’en avais tout le loisir.

Ce choix au départ non stratégique m’a été fort utile pour aborder, en toute légèreté et sans obligation, ce fameux sujet de la pollution numérique, auprès de mon conjoint, de notre fils aîné, de notre plus jeune, et des 3 en même temps.

Exemple avec mon conjoint : au fil de ma lecture, dès que je lisais quelque chose que j’avais le goût de lui partager et d’avoir son avis, je lui disais : « J’aimerais ça te lire un passage et avoir ton avis là-dessus, est-ce que c’est un bon moment pour toi? »

La plupart du temps j’ai eu un oui, ce qui fait que mon conjoint a lu quasiment le livre d’Inès Leonarduzzi à travers moi. Ce qui est une aubaine pour lui qui n’est pas un fan de lecture.

Une fois, il m’a répondu : « non pas maintenant, le trafic est plus dense, faut que je reste concentré ».

« Ok tu me diras quand ce sera bon »

Moi qui étais plongée dans mon livre, je ne m’étais pas rendue compte de l’intensification du trafic. Si je n’avais pas pris le soin de valider que c’était un bon moment pour lui, voilà ce qu’il aurait pu se passer :

Moi : « Oh c’est fou ce que je suis en train de lire, faut absolument que je te le lise »

Lui : aucune réponse, il est concentré sur sa conduite et l’intensification du trafic.

Moi : « Bah c’est tout ce que ça t’inspire? »

Lui : « Quoi? Qu’est-ce que tu racontes? Tu vois pas que je suis concentré là? T’as pas vu le trafic qui s’intensifie? »

Moi : « … »

Résultat : frustrations des 2 côtés. Pas d’échange constructif. Motivation de mon conjoint à échanger sur le sujet une prochaine fois? A votre avis?

L’exemple que j’utilise est avec mon équipe à la maison, mais il se passe la même chose au travail.

Projetez cela dans l’équipe de votre choix.

A retenir pour réussir l’étape 3 :

Vous voulez susciter un échange sur un sujet qui vous tient particulièrement à cœur, donc prenez soin de :

1️⃣ Nommer clairement votre intention (« J’aimerais te lire un passage et que tu me donnes ton avis »)

2️⃣ Valider que votre interlocuteur est disponible, prêt à cela (« est-ce que c’est un bon moment pour toi? »)

3️⃣ Respecter la réponse : si elle est négative, ne forcez pas la main. Éventuellement, demandez quand serait un bon moment pour lui/elle. (« ok tu me diras quand ce sera bon »)

Étape 4 : Faire preuve d’ouverture

Exemple avec notre fils aîné, après avoir pratiqué les 3 étapes précédentes.

Notre fils aîné est d’accord et réceptif à ce que je lui partage mes découvertes. Il me répond : « Mais Maman, je le sais déjà ce que tu me dis là. Tu le vois peut-être pas mais j’ai déjà une consommation responsable du numérique : mon cellulaire est loin d’être du dernier cri, j’utilise le moins possible mes données. Quand on jase avec mes amis sur messenger alors que j’ai du wifi et que je m’apprête à sortir (plus de wifi), je leur dis : « on continue par sms je sors ».

Et là moi je tombe des nues et souris en même temps : notre échange met en lumière 2 éléments précieux :

👉 Mon interlocuteur a une meilleure connaissance que moi de ce fameux sujet qui me tient à cœur

👉 Il a déjà mis en place des comportements réflexes plus responsables

A retenir de cette étape 4 :

A partir du moment où vous avez cette volonté d’échanger en toute ouverture, et de recueillir l’avis de votre équipe sur le sujet qui vous tient à cœur, vous allez découvrir des pépites et des alliés : certains vont être plus avancés que vous sur le sujet. Vous allez pouvoir vous appuyez sur eux et vous appliquer à vous-mêmes les changements qu’eux ont déjà mis en place.

Impacts :

1️⃣ Ce sera bénéfique pour vous.

2️⃣ Quand viendra le temps de proposer vos idées de changement, leur réceptivité sera bien meilleure, puisque vous avez été à l’écoute de leurs idées. Mieux, vous les avez appliquées.

 Trucs du métier :

💡 Transformez des moments informels en opportunité d’échanges volontaires.

Dans notre cas, nous retrouver tous les 4 pendant des heures dans la même voiture a constitué un moment informel transformé en opportunité d’échanges volontaires auprès de mon conjoint et de notre fils aîné.

➡ Parce qu’il y a eu cette précaution de nommer mon intention et de valider leur accord pour échanger sur le « sujet qui tient à cœur »

NB : Au travail, avant la covid, les pauses cafés pouvaient avoir cette fonction-là. Un lunch ou une marche avec votre partenaire d’affaires aussi.

💡 Prendre avec tact l’avis de celui qui ne le donne pas spontanément.

Pourquoi le trajet en auto n’a pas été une opportunité d’échanges également auprès de notre fils de 15 ans? Parce qu’il avait quasi constamment de la musique sur les oreilles.

Auprès de lui, dans la voiture, je n’ai pas eu alors de démarche volontaire. Mais j’ai bien vu qu’à l’occasion d’échanges avec son père, son frère ou les deux, il a quitté ses écouteurs pour écouter notre conversation. Plus tard, je lui ai demandé : « j’ai vu que tu écoutais à certains moments notre conversation sur la pollution numérique, qu’est-ce que tu penses de tout ça, du désastre environnemental et humain qu’est la production des appareils? Tu savais que c’était des enfants qu’on envoyait dans les mines pour extraire les « Terres rares » ? j’aimerais ça avoir ton avis aussi. »

Il me l’a donné, plusieurs semaines après. Car le sujet est devenu récurrent.

💡 Personnaliser votre angle d’approche à votre interlocuteur

Comment ai-je appliqué cette méthode avec notre fils de 19 ans qui n’est pas parti en vacances avec nous?

Lorsque nous sommes rentrés de vacances, à l’occasion d’un repas tous les 5, j’ai évoqué le fait d’avoir échangé de « mon sujet qui me tenait à cœur » avec tout le monde sauf avec lui, et que j’avais hâte d’entendre son point de vue, surtout que, en lisant le livre d’Inès Leonarduzzi, j’ai eu une idée de métier à créer que je lui voyais bien développer. (Ce qui est vrai bien-sûr!)

Ce dernier argument a définitivement suscité sa curiosité, lui qui est présentement en première année universitaire.

Résultats :

👉 Quand j’ai proposé d’en échanger, il m’a répondu : « Ok mais 5 mns alors ». L’échange a duré 1h je crois, de son fait à lui et non du mien. Il posait plein de questions, très intéressé par le sujet.

👉 Il est parti à son tour en vacances, avec le livre Réparer le Futur dans ses valises. Son avion ayant du retard, il l’a lu en l’attendant, en 1h ou 2 et il m’a texté : « Intéressant le livre ».

A l’heure où j’écris cet article il n’est pas encore rentré de vacances. J’ai hâte de reprendre l’échange! Et d’avoir son sentiment : a-t-il le goût de modifier ses habitudes numériques? De faire partie de ceux qui le créent, ce métier de demain qui serait une bien belle solution?

Donc, pour résumé, avec notre fils de 19 ans, à des moments distincts des 3 autres protagonistes de mon histoire, j’ai utilisé exactement la même méthode :

1️⃣ J’ai nommé que c’était un sujet qui me tenait particulièrement à cœur

2️⃣ J’ai fait preuve d’humilité, mis en lumière une faiblesse chez moi et une force chez lui

3️⃣J’ai été claire dans mon intention

4️⃣ J’ai proposé un moment pour en échanger et validé que c’était un bon moment pour lui

5️⃣ J’ai transformé un moment informel en opportunité d’échange

Et ainsi, avec cette méthode, tous ensemble, on a réussi à :

✔ Échanger sur ce sujet qui me tenait particulièrement à cœur sans virer dans des débats stériles et clivants

✔ Déclencher en chacun de nous une motivation pour un numérique plus conscient et raisonné

✔ Donner (à certains en tout cas) le goût de lire les livres

✔ Faire ce virage vers un numérique plus responsable de façon consciente, volontaire et ensemble

✔ Donner le goût de changer certaines de nos habitudes et réflexes sans les imposer, simplement grâce à une prise de conscience des impacts « au-delà de nous ».

C’est une méthode qui permet de donner le goût à notre équipe de faire partie de la solution, dès lors qu’on a pris conscience qu’on alimente le problème.

Sans forcer, sans contraindre, sans imposer, sans cliver.

Avec ouverture, authenticité, simplicité, respect.

C’est une méthode de Communication Zéro Déchet™.

Avec quelle équipe allez-vous la mettre en pratique?

Pour quel sujet crucial qui vous tient à coeur?

Elle fonctionne, n’hésitez pas à l’utiliser. Même si vous l’appliquez avec maladresse…votre maladresse sera votre preuve d’humilité…et deviendra votre force…

N’hésitez pas à écrire vos questions ou remarques en commentaires, à prendre contact avec moi pour en échanger.

Et pour ceux et celles qui ont le goût de s’initier à la Communication Zéro Déchet, je vous invite à jeter un œil au Parcours Communication Zéro Déchet™.